Hunter, étoile montante du hip-hop belge, s’est fait connaître sur la scène francophone grâce à ses freestyles viraux sur les réseaux sociaux. À seulement 17 ans, il connaît un premier succès d’estime. Autodidacte dans l’écriture et la composition, il décide de faire une pause de deux ans pour se concentrer sur son évolution personnelle. Aujourd’hui, à 22 ans, Hunter revient plus mature et maître de son art.
Rappeur, chanteur, auteur et compositeur, il a trouvé en son meilleur ami Noah Matatu le partenaire créatif idéal. Ensemble, ils forment un duo presque indissociable, où les mots de l’un rencontrent les notes de l’autre dans un équilibre subtil entre des phrases réfléchies et des mélodies piano puissantes.
Tant admiratif de Nekfeu que de Paul McCartney, lecteur assidu de Dumas comme de Kundera, il tisse des ponts entre rap français et américain, tout en incorporant des influences littéraires. Son nouvel EP, “Le Crève-cœur”, donne le ton. Cet opus, dont le titre est emprunté au poète Louis Aragon, se présente comme un recueil de cinq morceaux poétiques, mêlant rap et chant, avec une écriture soignée et percutante.